La nouvelle aventure d’Arnaud CHASSERY et Philippe CROIZON

" Deux nageurs, l’un valide, l’autre amputé des quatre membres, vont unir leur force et leur courage pour relever un incroyable défi : relier ensemble les 5 continents à la nage.

Ensemble, ils vont relier l’Océanie, l’Asie, l’Europe, l’Afrique et l’Amérique à la nage et ainsi effectuer un véritable tour du monde en seulement quatre mois. Pour y parvenir, Philippe et Arnaud vont donc devoir repousser leurs limites physiques. La préparation mentale jouera donc un rôle fondamental.

Amputé des bras et des jambes suite à un dramatique accident, Philippe CROIZON a réussi l’exploit de traverser la Manche à la nage en 2010. Nageur longue distance, Arnaud CHASSERY a traversé la Manche en 2008, puis le détroit de Gibraltar en 2010.

Poussés par la même soif d’aventure et de dépassement de soi, les deux nageurs vont réaliser un défi sportif hors du commun. Une performance jamais réalisée jusqu’à présent, un véritable challenge physique et mental. Un exploit sportif doublé d’une extraordinaire aventure humaine, une ode au dépassement de soi, à la solidarité et à l’égalité entre les hommes. "

[...]

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Philippe était invité Mardi de l'émission "Les affranchis" sur France Inter ... Ecoutez son témoignage:

Pour cet après-midi  avant les vacances de Pâques , nous avons eu deux surprises ... D'abord Laura et Jimmy nous ont apporté un gâteau et du coca  que Dominique nous envoyait pour fêter son diplôme d'Educatrice Technique Spécialisée ... Il était délicieux et nous nous sommes régalés ... Et puis ensuite Frédéric nous a téléphoné pour nous dire qu'il y avait un visiteur qui allait venir nous voir ... C'était ... Thomas !!!

UNE JOURNEE

PARCOURS MOTEUR 

A BELFORT le 1er Mars 2012.

Après le petit pot d’accueil apprécié par tous, nous nous sommes préparés pour effectuer les différents parcours.

Le thème de la journée était le monde de Tintin.

Sur le premier parcours nous avons été accueillis par les «Dupont », nous devions faire suivre un palet sur un chemin avec une canne de hockey, puis suivre un parcours et démolir des boites avec des balles.

Le deuxième départ était un voyage avec tintin qui se terminait par du trampoline apprécié par la majorité

Notre dernier voyage était en compagnie du capitaine Haddock. Une croisière dans un bateau après la découverte des profondeurs avec le bathyscaphe du professeur Tournesol.

Merci à l’équipe de Roppe pour cette journée et à l’année prochaine.

En ce moment et pendant toutes les vacances les élèves de la classe de Frédéric exposent leurs oeuvres collectives dans le réfectoire du personnel de l'Eveil ... Un régal pour les yeux ... A ne pas manquer !!!

(photos Frédéric M.)

[...] Vers la fin de la journée seulement, le bruit cessa ; mais le pauvre petit n’osa pas encore se lever. Il attendit quelques heures, regarda autour de lui, et se sauva du marais aussi vite qu’il put. Il passa au-dessus des champs et des prairies ; une tempête furieuse l’empêcha d’avancer, 

Sur le soir, il arriva à une misérable cabane de paysan, si vieille et si ruinée qu’elle ne savait pas de quel côté tomber : aussi restait-elle debout. La tempête soufflait si fort autour du caneton qu’il fut obligé de s’arrêter et de s’accrocher à la cabane : tout allait de mal en pis.

Alors il remarqua qu’une porte avait quitté ses gonds et lui permettait, par une petite ouverture, de pénétrer dans l’intérieur : c’est ce qu’il fit.

Là demeurait une vieille femme avec son matou et avec sa poule ; et le matou, qu’elle appelait son petit-fils, savait arrondir le dos et filer son rouet : il savait même lancer des étincelles, pourvu qu’on lui frottât convenablement le dos à rebrousse-poil. La poule avait des jambes fort courtes, ce qui lui avait valu le nom de Courte-Jambe. Elle pondait des œufs excellents, et la bonne femme l’aimait comme une fille.

Le lendemain on s’aperçut de la présence du caneton étranger. Le matou commença à gronder, et la poule à glousser

« Qu’y a-t-il ? » dit la femme en regardant autour d’elle. Mais, comme elle avait la vue basse, elle crut que c’était une grosse cane qui s’était égarée. « Voilà une bonne prise, dit-elle : j’aurai maintenant des œufs de cane. Pourvu que ce ne soit pas un canard ! Enfin, nous verrons. »

Elle attendit pendant trois semaines ; mais les œufs  ne vinrent pas. Dans cette maison, le matou était le maître et la poule la maîtresse ; aussi ils avaient l’habitude de dire : « Nous et le monde  » car ils croyaient faire à eux seuls la moitié et même la meilleure moitié du monde. Le caneton se permit de penser que l’on pouvait avoir un autre avis ; mais cela fâcha la poule.

« Sais-tu pondre des œufs ? demanda-t-elle.

— Non.

— Eh bien ! alors, tu auras la bonté de te taire. »

Et le matou le questionna à son tour : « Sais-tu faire le gros dos ? sais-tu filer ton rouet et faire jaillir des étincelles ?

— Non.

— Alors tu n’as pas le droit d’exprimer une opinion, quand les gens raisonnables causent ensemble. »

Et le caneton se coucha tristement dans un coin ; mais tout à coup un air vif et la lumière du soleil pénétrèrent dans la chambre, et cela lui donna une si grande envie de nager dans l’eau qu’il ne put s’empêcher d’en parler à la poule.

[...]

                                                                    Contes d'Hans Andersen

Traduction par David Soldi.

  ( Pour écouter l'extrait): 

   

Texte du conte complet 

http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Vilain_Petit_Canard  

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