• Ce matin, Audrey était la première en classe . audrey-7905.JPG

     

    En attendant que les autres arrivent , elle est allée "toute seule" travailler à l'ordinateur ... Voici son parcours en images:

    audrey-7906.JPG

     

    audrey-7907.JPG

      audrey-7910.JPG

    Brigitte avait mis des chaises sur le parcours pour que ce soit plus facile...

    audrey-7911.JPG

     

    audrey-7914.JPG


    audrey-7916.JPG

    Et enfin elle a pu travailler avec le logiciel "Mon abécédaire multimédia"

    audrey-7917.JPG

    Mais après , il lui a fallu revenir à sa place !!!

    audrey-7901.JPG  

    audrey-7902.JPG

    audrey-7903.JPG

    audrey-7904.JPG

    audrey 7905

    (photos Brigitte)

    Pour Brigitte, l'objectif est qu'Audrey puisse faire le même parcours à la fin de l'année scolaire sans les chaises ... 

     

    Et une application pour remettre le parcours d'Audrey dans l'ordre  (cliquez sur les photos pour les voir en grand ):

     


    2 commentaires
  • Nous avons regardé  aujourd'hui  les énergivOres :

    energivores-copie-4.jpg

     

    " Les énergivOres est une Web-série humoristique d'éducation à la maîtrise de l'énergie, composée de vingt épisodes d'une à deux minutes, créée par Georges Nivoix et produite par le CRDP de l'académie de Besançon. "

     

    Épisode d'aujourd'hui:

     5: Les veilleurs (2008) : Une TV, un décodeur et un ordinateur mal éteints rêvent de pouvoir dormir la nuit.

       (Source Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Les énergivOres )

     

         Cinquième épisode: Les veilleurs 

     


    votre commentaire
  • livre-contre-pied.jpg" Le handicap, tout le monde en parle, les médecins, les spécialistes, les politiques… Tout le monde sauf les personnes victimes d’un handicap ! Le livre d’Etienne Hoarau comble ce manque. Et c’est un témoignage sans précédent de courage, de réalisme.

    « Je me pose ce dimanche matin dans un café de Saint-Ouen, à proximité des puces. Vers midi, je m’apprête à repartir à vélo. En montant dessus, une main sur le guidon, une autre tenant les béquilles, je me casse la figure. Une dame qui m’observait m’interpelle et me demande s’il est “bien raisonnable de faire du vélo dans mon état”. J’imagine que si je lui disais que j’ai traversé comme ça l’Amérique du Sud et du Nord, elle me regarderait avec suspicion. Je préfère lui répondre par un sourire et partir. Les apparences ne disent rien de nos possibilités et de la force de nos volontés. »

    Atteint du syndrome de Little (handicap des jambes), Étienne Hoarau n'a pas toujours eu la mobilité de l'aventurier qu'il est devenu. Souvent immobilisé durant sa jeunesse pour raison d'hospitalisations, il a choisi de partir parcourir le monde, principalement à vélo.

    Le livre récompensé par le
    prestigieux Prix des Explorateurs de la Société de Géographie, le 23 novembre  à Paris, est un récit ponctué de rencontres qui invite à traverser l’Amérique du Sud et l’Amérique du Nord à vélo (Chili, Bolivie, Pérou et côte Ouest des USA : 7 000 km en 7 mois), puis à prendre le Transsibérien en période hivernale et en béquilles. Des voyages qui résonnent comme autant de quêtes de l'autre, comme autant de quêtes de soi.

    Pourquoi de tels voyages ? A cause d’une banale histoire d’amour qui finit mal, l’auteur part en colère pour vaincre son handicap. Après plusieurs mois, des nuits dehors par moins 20°, des chutes et encore des chutes à vélo, des rencontres inoubliables de pauvres, d’enfants abandonnés ou de familles qui l’hébergent ; il comprend qu’il doit domestiquer et non vaincre son handicap.

    Revenu en France, il poursuit son but d’ouvrir un centre pour SDF, tout aussi exclus qu’il le fut. Pour ce faire, ayant reçu de nombreux manuscrits sur le handicap, le voyage ou les parcours de vie, il va commencer à éditer des livres sous le label Mille Regards.

     

    ( Merci à Thomas Relation Presse pour l'info ... )

     

    Pour accéder au site des éditions 1000 Regards et commander le livre:

    logo-mille-regards.jpg Et pour lire un extrait du livre:

     


    votre commentaire
  • Le mardi, on fait du théâtre à l'école.

    Dans notre pièce de théâtre, il y a deux personnages : l'agriculteur et le touriste.

    Ce matin, on s'est déguisé. Lucine et Thomas se sont déguisés en agriculteur. Ils ont mis une chemise et un chapeau.

    Davy et Andgel se sont déguisés en touriste. Ils ont mis une chemise à fleur, et ils avaient un appareil photo. IMG_7714--Copier-.JPG

    On a bien joué notre rôle!

    Andgel et Thomas L. ont même écrit la suite de la pièce de théâtre avec l'aide de Guillaume (bravo et merci à Guillaume pour ses idées!).

    IMG_7719--Copier-.JPG

    Voici la pièce écrite par Guillaume, Thomas et Andgel :

     

     « Le paysan et le touriste »


    le touriste : Dites donc, vous avez une grosse voiture ! Elle a de très grosses roues !

    le paysan : Ce n’est pas une voiture mais c’est un tracteur !

    le touriste : Oh que vous avez de drôles de chaussures… C’est la nouvelle mode à Paris ?

    le paysan : Ce ne sont pas des chaussures à la mode, ce sont des bottes en caoutchouc...

    le touriste : Et vos poules, elles sont bizarres leurs pattes, est-ce qu’elles sont malades ?

    le paysan : Mais non, elles ne sont pas malades, parce que ce sont des canards !

     

    A bientôt pour une représentation!


    1 commentaire
  • Vu le film hier après-midi ... Des images et une musique magnifiques ...  au service d'un message limpide ...  Pourtant, peut-être intéressant de lire cette voix discordante:

    "Les trop belles images de «Sur le chemin de l’école»

    Ce documentaire filme quatre enfants, en Inde, au Chili, au Maroc et au Kenya, parcourir des kilomètres, tous seuls, souvent quotidiennement, dans des conditions spectaculairement compliquées, pour rejoindre leurs écoles. Joli mais son manque d'épaisseur nuit au message.

    «Sur le chemin de l'école», au Kenya. DR

    - «Sur le chemin de l'école», au Kenya. DR -

    «Mange ta soupe, il y a des enfants qui n’ont rien à manger»; «Tu sais il y a des enfants qui n’ont pas la chance de pouvoir aller à l’école comme toi!» J’ignore si ces arguments ont jamais convaincu quiconque, mais qui ne les a entendus prononcés, voire prononcés lui-même pour encourager un rejeton récalcitrant? [...]

     

    lire la suite sur Slate.fr


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique